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Showing posts from November, 2016

PS to The Interruption (on Deleuze and Levinas)

The general image that seems to emerge from a project like this is that agency involves a degree of solitude with one's actions and therefore agency involves a degree of hospitality. In terms of the monadology of fragments ( Being Up For Grabs , chap. 3), agents are composers but also fragments in the hands of other composers: they are subjects to other agencies they encounter - they are up for grabs. (See the very last section of the book where the monadology of fragments is connected to the ontoscopy of doubts and the rhythm-oriented ontology.) They are therefore subject to contamination, to contagion. Their poiesis is somehow tied up with other agent's poiesis - and this gets us close to hospitality. It is an affair of rhythms: agents are affected by the pace of things around them. That is, they are at the mercy of the events that take place independently around what they are up to. This introduces a Deleuzian element to the project. In fact, the general form of hospitality ...

L'interruption

J'ai écris ça comme une idée générale du livre que j'essais d'écrire (en français). Maintenant il s'appelle "L'interruption - hospitalité et la métaphyisique des autres": Qu'est-ce qu'une véritable interruption ? L'idée même peut seulement s'expliquer par rapport à quelque chose d'extérieur à une démarche. L'interruption est l'épisode où un autre se fait présent : un bruit, le voisin, un autre désir, un souvenir, quelqu'un qui demande, l'ordre du jour de ceux qui arrivent, un accident, des conséquences imprévues, le climat qui change, Gaïa. Pouvoir être interrompu est être avec des autres – être à disposition de ce qui co-existe, mis en jeu par ceux qui ont leurs enjeux dans un espace d'événements partagé. L'extérieur d'une démarche est ce qui interrompt ; et l'extérieur est l'étranger, l'étrange à un cours d'actions, l'exotique qui se détache et se présent comme arraché d'un proces...

Monadologie et les autres

Voici le texte de ma présentation aujourd'hui au Séminaire Leibniz à la ULB, invité par Arnaud Pelletier: Est-ce que la monadologie (et la néo-monadologie) suffit pour une philosophie des autres? 1. Leibniz : interdépendance et action Si on est intéressé aux liens métaphysiques entre l'existence et la co-existence, l'idée d'une monadologie est un point de départ. Leibniz a conçu ce qui existe (sauf Dieu) comme impossible sinon comme une partie du monde – ce que n'existe pas dans le monde, ne peut pas exister. La co-existence est la mesure de l'existence. Ce qui est partage un monde et ce qui ne partage pas le monde n'existe pas. Cette mesure est centrale pour la monadologie. La conception leibnizienne de la substance, bien comme ses notions de mondes possibles et du monde actuel, ne peuvent pas être compris sans cette mesure de l'existence. Premièrement, ce qui existe doit appartenir a un monde possible puisqu'il n'y a pas de substance p...

Anti-factism

Been thinking in what I'm after in terms of alternatives to factism. Roughly speaking, and to begin with, factism is the thesis according to which there are atemporal, impersonal, reachable (albeit not necessarily ever reached) facts in the world independent of time, tense, rhythms, personal engagements, subjectivity and query strategies. In other words, it implies that things are the way they are independently of any agent, of any approach, of any way closeness one is to them. Anti-factist positions, of course, can be full-bloodedly realist in the sense of the existence of an out-there however complex and processual. Anti-factism is a form of process philosophy because it postulates many commencements and rejects the claim that things are made at some point once and for all. There are many avenues to anti-factism. I've been exploring three of them, that maybe have to do with my three ontoscopies in Being Up For Grabs (Fragments, Doubts, Rhythms). The first one is through a ...